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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "C. M.". Bête dévorante dite "le Rongeur" ou "le Dévoreur", chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "C. M.". Bête dévorante dite "le Rongeur" ou "le Dévoreur", chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale reconstituée et conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "LL". Homme-lion, chimère ornant la tour nord de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale reconstituée et conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "LL". Homme-lion, chimère ornant la tour nord de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "ND Phot". Bouc démoniaque ricanant, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "ND Phot". Bouc démoniaque ricanant, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale reconstituée et conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "LL.". Démon à tête de faucon dit "Horus", chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale reconstituée et conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "LL.". Démon à tête de faucon dit "Horus", chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Démon à tête de faucon dit "Horus", chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Démon à tête de faucon dit "Horus", chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Singe-satyre, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Singe-satyre, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Dragon sur bras fléchis, tirant la langue, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Dragon sur bras fléchis, tirant la langue, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Félin tirant la langue et démon aux côtes saillantes, chimères ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Félin tirant la langue et démon aux côtes saillantes, chimères ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Démon aux côtes saillantes, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exemplaire de la "Collection Notre-Dame", 4 séries, 192 cartes. Monogramme : "ND Phot". Démon aux côtes saillantes, chimère ornant la tour sud de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
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Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "C. M.". Basilic, chimère ornant la tour nord de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
Carte postale conservée dans un album consacré à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Monogramme : "C. M.". Basilic, chimère ornant la tour nord de la cathédrale. Bestiaire et créatures imaginaires sculptées sous la direction d'Eugène Viollet-le-Duc pour décorer les galeries hautes des tours de Notre-Dame lors de sa restauration au XIXe siècle.
WIESE
A yellow gold long chain inspired by Notre Dame de Paris Cathedral, circa 1890
$ 147,000.00
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Composed of a uniform series of gothic quatrefoil links echoing those that adorn the centre of the cathedrals rose windows, between curb connecting links, embellished at twelve regular intervals with...
Composed of a uniform series of gothic quatrefoil links echoing those that adorn the centre of the cathedrals rose windows, between curb connecting links, embellished at twelve regular intervals with an individual 'gargoyle' from the famous gallery of chimeras that guard the cathedral's upper ramparts, each signed Wiese, circa 1890, French assay marks for gold, maker's mark for Louis Wiese. Length 150 cm, total weight 264.7 grams
A similar necklace appeared at auction in 2008 and sold for £87,650
For those of us who spend our time in retrospection, conversations around restoration, revival, reinvention, are often on our lips. This necklace and the monument it invokes offer the perfect platform for such thoughts.
Because Jules Wiese (1818 -1890) and his son Louis (1852 - 1923) were devout revivalists. Their gold and silver chasing is instantly recognisable in both its quality and for it being almost wholly in the Medieval and Renaissance style. Their jewels were not only highly admired in their time, but embellish collections in The British Museum, The V&A, MAD Paris and many more around the world today.
Whilst Notre Dame was built between 1163 and 1250, after centuries of neglect and degeneration, in 1843, it was delivered into the hands of architects and passionate Revivalists Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc & Jean-Baptiste Lassus for what turned out to be a very 19th Century reinterpretation of its Gothic beginnings. In doing so, the dilapidated Gothic cathedral became one of the world's most famous Neo-gothic edifices.
The "gargoyles" of Notre Dame are so well known they have their own names ("Stygge","Le Rongeur" etc.) and have inspired countless artists and writers for generations - including the twelve faithfully represented on this necklace. Yet it is between 1843 and 1864, that the beloved ghouls as we know them today began their lofty vigil over Paris.
Both Wiese and de-Viollet believed in a revival that absorbed an aesthetic and reinterpreted it rather than strictly copying original sources. Their art shows us that in the hands of those skilled and creative enough, far from soulless copies, revivals can have a life and artistic merit of their own.
As Notre Dame has risen from the ashes once more - this time quite literally after the devastating fire of 2019 - the chimeras have been faithfully restored and recreated in their old image. But de Viollet's stained glass windows are to be replaced by contemporary ones by French artist Claire Tabouret.
A similar necklace appeared at auction in 2008 and sold for £87,650
For those of us who spend our time in retrospection, conversations around restoration, revival, reinvention, are often on our lips. This necklace and the monument it invokes offer the perfect platform for such thoughts.
Because Jules Wiese (1818 -1890) and his son Louis (1852 - 1923) were devout revivalists. Their gold and silver chasing is instantly recognisable in both its quality and for it being almost wholly in the Medieval and Renaissance style. Their jewels were not only highly admired in their time, but embellish collections in The British Museum, The V&A, MAD Paris and many more around the world today.
Whilst Notre Dame was built between 1163 and 1250, after centuries of neglect and degeneration, in 1843, it was delivered into the hands of architects and passionate Revivalists Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc & Jean-Baptiste Lassus for what turned out to be a very 19th Century reinterpretation of its Gothic beginnings. In doing so, the dilapidated Gothic cathedral became one of the world's most famous Neo-gothic edifices.
The "gargoyles" of Notre Dame are so well known they have their own names ("Stygge","Le Rongeur" etc.) and have inspired countless artists and writers for generations - including the twelve faithfully represented on this necklace. Yet it is between 1843 and 1864, that the beloved ghouls as we know them today began their lofty vigil over Paris.
Both Wiese and de-Viollet believed in a revival that absorbed an aesthetic and reinterpreted it rather than strictly copying original sources. Their art shows us that in the hands of those skilled and creative enough, far from soulless copies, revivals can have a life and artistic merit of their own.
As Notre Dame has risen from the ashes once more - this time quite literally after the devastating fire of 2019 - the chimeras have been faithfully restored and recreated in their old image. But de Viollet's stained glass windows are to be replaced by contemporary ones by French artist Claire Tabouret.
